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Le sang du supplice entoure le corps brisé du Christ. Les femmes
sont là qui l'entourent, impuissantes, le regard noyé de tristesse devant tant
de souffrance. Elles l'aiment vraiment. Elles n'ont pas peur des violents qui
l'ont crucifié. Elles affrontent les sarcasmes des lâches qui ont applaudi les
bourreaux. Le sang se confond avec les flammes qui veulent le dévorer. Mais les
flammes n'atteignent pas le crucifié. Une lumière l'entoure et le protège. Les
clous n'ont plus de croix où se planter pour le retenir prisonnier. Son corps
pantelant est porté par des bras que l’on ne voit pas. Son Père ne l'a pas
abandonné. Son visage se tourne vers le ciel. De là vient la lumière qui, par
lui descend sur la terre.
JB
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Le sang du supplice entoure le corps brisé du Christ. Les femmes sont là qui l'entourent, impuissantes, le regard noyé de tristesse devant tant de souffrance. Elles l'aiment vraiment. Elles n'ont pas peur des violents qui l'ont crucifié. Elles affrontent les sarcasmes des lâches qui ont applaudi les bourreaux. Le sang se confond avec les flammes qui veulent le dévorer. Mais les flammes n'atteignent pas le crucifié. Une lumière l'entoure et le protège. Les clous n'ont plus de croix où se planter pour le retenir prisonnier. Son corps pantelant est porté par des bras que l’on ne voit pas. Son Père ne l'a pas abandonné. Son visage se tourne vers le ciel. De là vient la lumière qui, par lui descend sur la terre.
Jacques
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